Day 6 – 18.11.2017 – Experiences

L’ultima giornata qui ad Ausburg è iniziata con un rapido sondaggio, descrivere il nostro umore tramite il meteo: per tutti il tempo era nuvoloso ma con qualche schiarita, in speranza di passare un ultimo giorno felice in compagnia dei nostri amici. Fortunatamente ci siamo riusciti grazie all’entusiasmo e alla leggerezza con cui gli animatori lavorano riuscendo a farci dimenticare che in meno di 24h saremmo tornati a casa; per esempio, abbiamo mimato delle storie inventate dagli animatori ed è stato interessante e divertente vedere come la comunicazione vada oltre le differenze linguistiche o culturali. E come se non bastasse,in gruppi di sei persone (2 italiani,2 tedeschi e 2 francesi), ci siamo buttati nella costruzione dei razzi con palloncini, ovatta, nastro adesivo, spago… astronauti d’eccezione le uova! La parte più difficile è stata la proggettazione ma nonostante questo, comunicando tra noi, siamo riusciti a capirci a vicenda ed a realizzare un “prototipo ” di navicella che avrebbe dovuto poi superare difficili prove. I nostri “ovonauti” hanno dovuto affrontare prima del lancio una favolosa sfilata , pericolosissimi voli dal terzo piano, spavontose collisioni contro insormontabili barriere da cui non tutti sono usciti vivi. Mandato giù a fatica anche l’ultimo pasto tedesco abbiamo iniziato i festeggiamenti dell’ultima sera con numerosi balli di gruppo. In generale, partendo con poche conoscenze e niente su cui lavorare ma collaborando con l’equipe di animatori e sostenendoci a vicenda abbiamo imparato a conoscerci. Questa esperienza é stata certamente unica, ci ha fatto crescere insegnandoci che i pregiudizi sono solo dei limiti da superare.

 

Le 18 Novembre 2017 était le dernier jour de la semaine… au revoir belle vie de partage et de rencontre, au revoir les amis que nous nous sommes fait, au revoir tout le monde… Mais bon, ne soyons pas si tristes car nous recommençons l’expérience dans 4 mois en France cette fois, à Vernon plus précisément.

Malgré cela, tout le monde était un peu maussade ce matin donc pour bien commencer la journée, l’équipe éducative nous a proposé un jeu de mime qui nous a fait réfléchir sur la communication. Dans ce jeu on choisit une personne qui doit mimer une histoire et 4 volontaires qui sortent dont un qui est observateur de l’histoire. Après, le mime revient dans le public et l’observateur devient mime et interprète ce qu’il a vu pour un des volontaires qui regarde par la fenêtre. Et cela jusqu’à ce qu’il n’y ait personne. Dans ces histoires, la cacahuètes sont devenus des cannes à pêches, les requins sont devenus des amis et les extraterrestres ont fini par donner l’hospitalité. A la fin du jeu, la plupart des gens étaient convaincues que la communication réserve toujours une part d’interprétation et ne peut être objective. De plus, ce jeu nous apprend une autre manière de communiquer entre nous et que la barrière entre deux personnes de langues différentes est surmontable.

Pour la deuxième activité de la journée, nous nous sommes regroupés par 5 équipes tri-nationales et nous avons fait la deuxième et dernière « expérience » de la semaine. Chaque groupe devait fabriquer une fusée qui transportait un œuf faisant office d’astronaute et devait la faire atterrir sans casser l’œuf. Pour fabriquer la fusée chaque groupe avait 20 coins (en anglais pour que ce soit international) et l’équipe éducative vendait des matériaux coûtant des coins. On pouvait aussi gagner des coins en posant des questions dans une autres langue que notre langue maternelle ou en se faisant interroger sur le nom d’un matériel dans une autre langue. Cette fusée devait être belle, résistante, amusante, créative, technologique et devait résister à une haute chute. Je pense que cette activité nous a appris à partir de rien pour créer quelque-chose, le créer en équipe, parler d’autres langues et nous a préparé à la vie de travail scientifique.

Ensuite nous avons fait le récapitulatif de la semaine avec les points positifs ou négatifs pour améliorer le prochain séjour en France.

Pour résumer cette semaine, je dirais que le premier jour, les français restaient entre-eux, les italiens et les allemands aussi. Il semblait peu probable ce jour-là qu’un italien aille de son propre chef rencontrer un allemand ou un français. Alors que ce midi, tous le monde a mangé à la même table, tout le monde a échangé ensemble et tout le monde a rigolé ensemble. Pendant cette semaine, des rencontres se sont faites, des amitiés se sont forgées, et des vocations se sont crées et je pense que tout le monde qui a participé gardera cette semaine au font de lui comme un souvenir gravé dans le marbre.

Ce que je retiens de cette journée : 

Après avoir passé une semaine ensemble, c’est le moment de se séparer. Personnellement, mes émotions sont mitigées. D’une part, je suis heureuse de pouvoir retourner en France, de retrouver mes amis et ma famille ; et d’autre part, je suis triste de partir car je me suis fait des amies dans ce groupe et l’ambiance est favorable à l’apprentissage grâce aux animateurs qui nous ont proposé des activités amusantes.
Cette semaine à été enrichissante pour moi, tout d’abord, elle m’a appris la cohésion de groupe, elle m’a aussi permis de voir le rapprochement entre 3 cultures différentes, 3 styles de vies qui ne se ressemblent pas, et donc de me rendre compte que les différences de langues n’est pas une barrière à la communication.

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Es ist soweit: der letzte Tag der interkulturellen Woche ist angebrochen.

Doch es ist kein Grund um zu verzweifeln, denn heute hat uns ein spannendes Programm erwartet!

Der erste Punkt des Programms war das Erzählen einer Geschichte durch Pantomime. Es wurden Gruppen mit fünf Personen gebildet. Einer erzählt die Geschichte durch Gestik, ein weiterer aus der Gruppe muss zuschauen und die Gesten dann dem nächsten aus der Gruppe weitergeben. Dieses Spiel war sehr lustig, da die Geschichte von dem letzten aus der Gruppe immer von der ursprünglichen Geschichte abgewichen ist. Was ich jedoch faszinierend fand, ist, dass man sich auch ohne Worte verstehen konnte, wenn man genau auf die Gestik und Mimik der Person geachtet hat.

Der nächste Punkt war das Durchführen eines Experiments. Das Experiment bestand darin, eine Landekapsel für einen Astronauten (ein Ei) zu bauen, sodass es bei der Landung nicht zerbricht. Anhand dieses Workshops wurden uns mehrere Problematiken veranschaulicht, mit der auch Ingenieure in der Realität konfrontiert werden, wie beispielsweise die Gewährleistung der Sicherheit des Astronauts, ohne bei der Leistung einsparen zu müssen. Wir wurden in sechs trinationale Gruppen eingeteilt, sodass sich das ganze in Form eines Wetterwerbs gestaltete, um die Situation am Markt möglichst realitätsnah zu simulieren. Es standen viele Materialien zur Verfügung. Um diese jedoch zu erwerben, musste man die Animateure auf einer Sprache fragen, die man selber nicht spricht, sodass ich als Deutsche auf Französisch und Italienisch „einkaufen“ musste. Diese Materialien wurden von den Gruppen unterschiedlich eingesetzt, da jede einzelne Mannschaft ihre eigenen Schwerpunkte setzte: Sicherheit, Leistung, Schnelligkeit, Design und Kosten. Dabei haben wir realisiert, dass nicht alle Kriterien gleichzeitig erfüllt werden können und man einige Aspekte eine geringere Gewichtung erfahren haben. Nach den Vorbereitungen wurde die Landekapsel fertiggestellt und anschließend auf ihre Funktionalität geprüft. Der Test verlief folgendermaßen: die Landekapseln wurden von einer Höhe von 15 Metern fallen gelassen. Nach der Landung wurde geprüft, ob das Ei zerbrochen ist. Dies war das wichtigste Kriterium bei der Bewertung der Landekapsel.

Meiner Meinung nach war das Experiment eine tolle Möglichkeit, sich mit der Physik zu beschäftigen, aber auch als Team zusammenzuwachsen und auf anderen Sprachen zu sprechen. Außerdem hat die fertige Rakete der Gruppe Selbstbewusstsein gegeben und man war stolz auf das selbstkreierte Werk.

Zusammenfassend lässt sich sagen, dass nicht nur der Tag sehr spannend war, sondern auch die gesamte Woche. Am Anfang der Woche waren die Gruppen nach Nationalität getrennt, da man sich noch nicht kannte. Aber zum Ende der Woche gab es nicht mehr die Einteilung in Gruppen, sonder es gab ein WIR: es entwickelte sich ein Gemeinschaftsgefühl.

Dadurch, dass die Gruppe gemischt war, hat man sich in vielen Sprachen unterhalten. Obwohl man nicht alle der Sprachen der trinationalen Gruppe spricht, verstand man zum Ende der Woche, was der andere meint und lernte selbst einige Wörter.

Ich persönlich habe diese Woche sehr genossen: ich habe sehr viel Neues gelernt, auch über mich selbst, und ich habe Freundschaften mit Menschen aus einem anderen Land geschlossen. Diese Möglichkeit hat nicht jeder und ich bin sehr glücklich, dass ich diese lehrreiche Erfahrung erleben durfte. Umso größer ist nun die Vorfreude auf die Woche in Vernon und Colleferro!

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